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La Petite Maison de Théophraste

La Petite Maison de Théophraste
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13 août 2009

Elle me les brise !!!

Bonjour chers amis !!!

Une fois n'est pas coutume,aujourd'hui, ça va pas rigoler, ça va même chier !!!
Les raisons de mon ire soudaine ??? Cette "ù$(àç"rf$ùv fr guibole en ferraille qui me fait souffrir ...
Quand vous êtes seuls, vous faites quoi vous la nuit ? Si vous êtes normalement foutu, pas trop insomniaque et fêtard dans les normes acceptables, vous dormez ... Et ben moi non !!! Moi, je suis réveillé avec l'impression qu'on m'enfonce toute une batterie de couteaux de cuisine dans la cuisse et en plus, cette p****n de jambe refuse de répondre à mes injonctions de remuage !!!
Alors, vous comprendrez aisément, cher(e) lecteurs(trices), que je sois d'une vague humeur bougonne ce matin ... En plus, et même si j'aime pas particulièrement étaler ma vie privée, "elle" est partie pour 3 semaines à quelque 900 bornes ... Donc, voilà de manière brève et succinte les raisons de ma vague colérisation du jour ...

Mais qu'on se le dise, ça va pas durer !!! Une connerie de dernière les fagots peut survenir à tout moment !!!

Bien à vous,
T. de P.

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11 août 2009

Théophraste fait du trial ...

Théophraste a fait du trial ! ! ! Si, si ! ! ! Allez zou, en avant pour mes exploits en théïère à Saint-Laurent d’Arce …

Bref, on est dimanche en février 2008 (dans l’histoire, pas dans la vraie vie …), il fait beau et chaud (contrepèterie belge de très bon aloi), la théïère luit de mille feux dans ce beau soleil de février, les oiseaux chantent, les mouches pètent, Sany va bien, bref, à coup sûr une belle journée qui commence.

Je me lève donc aux aurores, vers 10h30/11h … Le café et les tartines enfilés (dans la bouche ! ! !), la douche prise et les dents savonnées, je chausse mes bottes et enfile mon cuir élimé par des mètres de bitume, pose mon casque sur mon auguste chef et file, bon train, vers Saint Laurent d’Arce, où, paraît-il, des drôles de bonshommes sur de non moins drôles de machines, effectuent des figures artistiques que votre dévoué serviteur ou quelques meugeux acrobates ont l’habitude de faire, mais moins volontairement …

Le long ruban autoroutier absorbé par les boudins chauds de la théïère me guide nonchalamment vers cette charmante bourgade du nord Cubzaguais, aux confins du monde civilisé, ou même un Ch’ti n’ose s’aventurer … Les visages ébaubis des autochtones lorgnent d’un œil inquisiteur le Théophraste triumphant … C’est la peur au ventre que je traverse ce village fantôme, et arrive, enfin, sur le lieu des acrobaties motocyclistes …

Je parque la théïère sur le bas-côté et commence à étudier sérieusement le parcours … Les nombreux intrépides qui ont déjà commencé chevauchent des montures pour le moins abracadabrantesques … Description : des roues rondes (normal …) d’au moins 32 pouces, des pneus gonflés à environ 0.2 bars, PAS DE SELLE (ce qui présente un avantage pour les petits, la hauteur de l’engin devant être de 42 cm …), un démultiplication en 65*8 (ça tire un poil court), un bruit de casserole, des disques de 17 cm de diamètre … Bref, que des trucs bizarres, on dirait des Kawa … Il est temps pour moi d’aller m’inscrire. Le dialogue qui suit est réel et n’a subi aucune censure … Il se déroule entre moi et la personne chargée des inscriptions, que nous appellerons, par souci de cohérence narrative, la dame …

- Moi : Bonjour la dame.
- La dame : Bonjour vous …
- Moi : Je m’appelle Théophraste de Pissefroid et je veux m’inscrire avec la théïère.
- La dame : désolé Gustave … euh Théophraste, mais le « pool restauration » est complet …
- Moi : Non la dame, la théïère est l’engin de feu que je chevauche quotidiennement, et avec lequel je compte bien escalader les obstacles que vous ne manquerez pas de dresser sur ma route …
- La dame : AAAAAAAHHHHHHHH … OK …
- Moi : Merci.
- La dame : Y a pas que quoi … Je vous inscris dans quelle catégorie : vert, jaune ou bleu ? ? ?
- Moi : Z’avez pas du rouge ? ? ?
- La dame : Si mais au « pool restauration » ! ! !
- Moi : D’accord … Donnez-moi du bleu alors …


Muni du précieux sésame m’autorisant l’accès aux différentes zones, je file préparer la théïère et, benoîtement (je l’aime cet adverbe …), me dirige vers ma céleste monture rouge et prend la direction de la première « zone » … Décrire ici le visage du commissaire de zone relève de la gageure … L’homme, voûté et muni d’une casquette semblable à celle d’un marin breton vantant les délices d’un poisson carré et pané, juge déjà d’un œil inquisiteur les « prouesses » des candidats qui me précèdent … Alors que je me dirige, au pas, vers la zone de départ, je vois notre homme verdir et, dans un élan magnifique, me héler de sa voix gutturale :

- Et toi, le grand, qu’est-ce que tu fous ici avec ta fusée (enfin un connaisseur …)? ? ?
- Brave homme, il m’est agréable de vous informer que je me dirige derechef vers les monts escarpés de l’endroit dont vous avez la charge.
- Gnééééééé ? ? ?

Je reformule :
- Je vais bouffer ta zone, prépare-toi ! ! !

Le petit homme, blanc comme neige, se résigne et, l’effroi sur le visage, se prépare à juger mes prouesses artistiques …

J’enclenche la première et voici déjà le premier obstacle : un rocher d’1m50 de hauteur croit bon d’obstruer le flanc de cette colline rocheuse et m’empêcher ainsi d’accéder à la difficulté suivante … Je fais hurler les 3 cylindres et relâche l’embrayage afin de lancer mon ursidéenne machine vers la « difficulté » …

Résultat : Le bas du carénage ressemble à de la purée Mousline, un morceau du collecteur est coincé dans les bâtons de la jante arrière, le kit chaîne me fait ressembler à un rappeur nord-américain, un liquide noirâtre s’échappe des entrailles de la théïère, je n’ai plus qu’un demi-guidon … J’aurais dû AUSSI enlever les carénages … Le rocher en rigole encore (et le commissaire de zone aussi …) …

Je quitte, piteux, la zone et court chercher du réconfort auprès de mes amis (du moins c’est ce que je croyais) présents : Franck se mord le doigt de pied de rire , Félix (Joyeux anniversaire Félix ! ! !) veut absolument m’embaucher avec mon tractopelle pour tomber les cloisons chez lui, Fabienne se met à parler aux nouveaux, Fabien me promet un accès illimité chez les VIP, Bernard me prend en photo avec son gros engin, Géraud me veut comme assistant chargé de la prévention des risques sur l’alcool et le cannabis, Céline essaye de me vendre sa collection de livres sur l’art du point de croix, Véro me demande quand est-ce que je passe (impayable notre Véro), Sarah veut essayer en 306 …

Penaud, je me dirige vers la buvette à sandwiches (si ça existe …), dont l’une des qualités premières et d’avoir omis la production de patates frites, afin de me sustenter …

Les modérateurs m’avaient prévenu : Y’en a qu’on essayé, ils ont eu des problèmes …

La prochaine fois, promis, j’écoute les conseils, fussent-ils prodigués par un pilote de monocylindre à pluie …

Théophraste arrête le trial, il va essayer le parapente aquatique en piscine fermée …

@+

11 août 2009

Sany ...

Théophraste de Pissefroid ne résiste pas à l'envie de vous narrer l'aventure plus que rocambolesque qu'il lui est arrivé l'année dernière au mois de février 2008, dans son précédent logement ... Ames sensibles s'abstenir !!!

1 – La rencontre

Il est 7 heures du matin … A l’heure où tout bon noble est encore prisonnier des bras de Morphée, ou est en train de se coucher, Théophraste de Pissefroid s’ébroue dans le grognement caractéristique de l’ursidé désespéré de devoir échapper aux bienfaits du repos du guerrier. Non sans mal, il se dresse dans sa couche, rejette avec désespoir la chaude couette et se dresse sur ses pattes arrière. Les escaliers le menant vers le lieu de sustentation matinale lui semblent bien abrupts, mais il se doit de les affronter, vaillamment, comme tous les obstacles qui ne manqueront pas de se dresser sur son cheminement quotidien. En prenant bien soin de viser les marches, il descend l’escalier.

Le breuvage caféiné matinal lui est agréable aux babines et aux papilles. Théophraste de Pissefroid commence à se sentir ragaillardi et se dit que finalement, la journée risque de ne pas être si mauvaise que cela.

C’est alors, que soudain (sans qu’il ne soit besoin de chercher la moindre notion de soudaineté dans les propos qui vont suivre), sa tuyauterie personnelle et intérieure le rappelle à la dure réalité de l’aube naissante. Il est l’heure d’aller se délester des quelques centaines de grammes de nourriture digérée des jours précédents.

Ayant bien pris soin de se munir de son « Gala », Théophraste de Pissefroids’avance, nonchalamment, affublé de son slip en poils de Chabal, vers les lieux d’aisance, inconscient du drame qui va se jouer dans quelques minutes … La censure présinaine m’interdisant ici de narrer les événements intestinaux qui se jouent, nous passons directement à la suite des aventures de Théophraste de Pissefroid.

Alors qu’il est en train de finir l’article consacré au 4° piercing clitoridien de Britney Spears, ses intestins lui signalent la fin de l’expulsion. Benoîtement, Théophraste de Pissefroid s’empare du rouleau de papier situé sur la petite étagère à sa droite, en retire quelques feuilles, les plie soigneusement dans un geste travaillé depuis plus de 30 ans, et nettoie scrupuleusement l’obscur orifice expulseur. Une fois cette tâche accomplie, Théophraste de Pissefroid appuie sur le bouton évacuateur de matière. C’est alors qu’entre en scène, précipitamment, le second protagoniste de cette formidable épopée : Sany …

Sany est l’ami du matin, celui qui est chargé, à grand renfort de moteur électrique et d’hélice broyeuse, de transformer en purée l’étron matinal. Sany effectue le premier broyage, mâchant âprement la matière. Mais à la deuxième tentative, Sany, pris d’un spasme mécanique intérieur, se bloque.

C’est avec horreur que Théophraste de Pissefroid voit la cuvette d’ivoire se remplir d’un liquide trouble, refoulé des entrailles de Sany ! ! !

« Non, Sany ! ! ! Pas ça ! ! ! Tu te dois de digérer, non de régurgiter ! ! ! ». Mais rien n’y fait, Sany refuse obstinément de se plier aux imprécations de notre héros. Heureusement, Sany cesse son manège … Mais le résultat est là … La blanche cuvette, fée matinale, s’est transformée en noire sorcière des matins embrumés.

Théophraste de Pissefroid contemple les dégâts, dépité … Il le sait, il va falloir opérer Sany, sans anesthésie, là, tout de suite, sinon l’occlusion risque de se prolonger …

C’est alors qu’il se rappelle, dans un élan de lucidité, que le plombier doit passer ce matin même, pour d’autres tâches ! ! !

Théophraste de Pissefroid sait déjà qu’il va demander au professionnel du tuyau d’ausculter Sany et de l’opérer …

Soulagé de savoir que l’opération va être confiée à un professionnel (et des quelques hectogrammes de déchets quotidiens), Théophraste de Pissefroid attend, impatient, l’arrivée de son sauveur …

2 – L’opération à ventre ouvert

Il est 8h40 quand le carillon électronique de la porte d’entrée fait entendre sa douce voix … Théophraste de Pissefroid se dirige vers l’interphone :
- Oui, bonjour, à qui ai-je l’honneur ?
- Salut Biloute, c’est l’plombard ! ! ! Tu m’ouvres ou t’as besoin d’un faire part ? ? ?
- Je vous ouvre, docteur, je descends …
- Merci tisaut’ ! ! !

Le réparateur ès tuyauterie pénètre chez Théophraste de Pissefroid (et pas dans Théophraste de Pissefroid …), affublé d’un apprenti. Le couple est dépareillé : le « chef », de petite taille, le visage marqué par des années de rencontre avec des tuyaux de toutes sortes, buriné par les effluves rencontrées, semble flotter dans un pantalon et une chemise visiblement trop grands pour lui. L’arpette, quant à lui, est un grand échalas légèrement en surpoids qui semble se demander ce qu’il fait là.

Sans leur laisser le temps de se gratter les gonades, Théophraste de Pissefroid informe le plombier et sa suite de sa mésaventure matinale, en prenant soin d’utiliser des mots choisis :

- Docteur, je dois vous informer qu’outre les menues réparations que vous êtes venu faire, il en est une d’importance. Sany est malade …
- Qui ça ? ? ?
- Sany … Ce matin, il a visiblement fait une occlusion.
- Ben faut app’ler le docteur biloute. J’suis pas spécialiste en nasproimpérologie ! ! ! T’y as filé des laxateurs ? ? ?
- Docteur, Sany n’est pas comme nous, fait de chair et de muscle (ndlr : en ce qui me concerne, surtout de muscle). Sany est mon ami électrique du matin chargé de digérer les mat …
- P****N DE B****L DE M***E ! ! ! TU VAS PAS ME DIRE QUE T’AS NIQUE LE SANIBROYEUR BILOUTE ? ? ? PARCE-QUE J’AI PAS DU TOUT ENVIE DE METTRE LES POGNES DANS LA FIENTE CE MATIN ! ! !
- Je suis désolé docteur, mais je crois qu’il va falloir que vous passiez outre vos a priori et procédiez à cette opération …
- E****E DE M*S C******S DE SANIBROYEUR ! ! ! MACHIN (c’est ainsi qu’il hèle l’apprenti), VA ME CHERCHER LA BASSINE, DES TORCHONS, DES SERPILLERES, ON A UNE GROSSE OPERATION QUI NOUS ATTEND …

L’échalas, devenu verdâtre à la simple évocation de la tâche qui va s’imposer à lui, s’exécute, alors que Théophraste de Pissefroid dirige le gastroentérologue vers l’objet du délit. A ce moment précis du récit, j’informe le lecteur que je ne ferai plus allusion (ou rarement), aux propos du médecin plombier, tant ceux-ci pourraient choquer le lecteur sensible. Je me contenterai donc de narrer les événements avec le plus de recul et d’objectivité possible.

Le jeune assistant du docteur remonte vers les lieux d’aisance, équipé de l‘équipement chirurgical dont il était chargé de rassembler les éléments.

Le médecin est déjà accroupi et a commencé a désosser Sany, sans l’anesthésier. Sany, conscient de son état, n’offre pas de résistance. L’assistant étale le champ opératoire au moment même où l’homme de science termine la première phase de l’opération, l’ouverture … Sany, dans un râle, laisse alors échapper de ses entrailles mécaniques le fruit du dépôt gastrique de votre noblissime narrateur. C’est alors que l’apprenti, qui passait à ce moment-là à son 19° ton de vert, décidait de courir vers l’extérieur afin de contenir (ou d’expulser, l’histoire ne le dit pas …) le contenu don son petit-déjeuner.

Le médecin, quant à lui, est dévoué à sa tâche. Furibard, vitupérant et maugréant contre ce malheureux Sany, il finit sa vidange sans un seul haut-le-cœur … Quel courage, quelle abnégation dans l’adversité. Il est superbe, suant et torse en avant, les genoux dans la fange, les mains protégées et continuant, sans relâche, son obscure besogne … L’apprenti est porté disparu dans la lueur naissante de ce jour pas comme les autres …

Sany, bien qu’ouvert en deux, est visiblement soulagé … Aux yeux des protagonistes, de nombreux organes se sont étalés dans le champ opératoire. Après un nettoyage en bonne et due forme, il est temps de tout remettre en place et de suturer Sany. Le docteur s’acquitte de cette tâche rapidement et remet Sany dans son coin douillet, derrière la cuvette d’ivoire. Il est temps de tester Sany et de vérifier son bon fonctionnement. Le gastroentérologue appuie sur le bouton évacuateur de la chasse d’eau … Sany grogne, se lance, et absorbe sans rechigner le liquide le liquide. Mais au moment de vidanger, c’est le drame ! ! ! Un point a sauté ! ! ! A la jonction de son urétère expulsateur, Sany laisse sourdre dans un geyser cataclysmique un fontaine d’eau qui montre à quel point la suture a lâché. Rompu aux gestes d’urgence, le docteur coupe l’arrivée d’eau, débranche Sany et stoppe l’aquarragie (ndlr : une aquarragie est un hémorragie d’eau).

Il re-démonte Sany, refait la susdite suture, remet Sany à sa place et relance la vidange. Cette fois-ci, Sany est guéri. Aucune trace de fuite de pointe le bout de son nez. Le docteur est satisfait :

- Ben dis don Biloute, nous aura bien fait chier (c’est le mot), ton p****n de broyeur de m***e ! ! ! Mais on l’a eu hein tisaut’ ? ? ?

Théophraste de Pissefroid est soulagé et regarde son sauveur d’un œil bienveillant et protecteur. Le médecin, après avoir ramassé ses outils opératoires et son apprenti, quitte la grotte ursidéenne, l’uniforme souillé, la sueur au front et aux aisselles, mais avec sur le visage cette expression du devoir accompli et la fierté de la victoire. Il part, dans ce jour magnifique, remonte dans sont fier carrosse de marque Citroën et file, joyeusement, vers de nouvelles aventures …

Chapitre 3 – Epilogue

Ce matin, Théophraste de Pissefroid a fait caca … Sany va bien …

11 août 2009

Lancement de la Petite Maison de Théophraste !!!

aristocrate

Vaillant lecteur, je me nomme Théophraste de Pissefroid, suis un noble aristocrate déchu en pleine reconquête de son rang.

Toi qui atterris en ces lieux hospitaliers, sache dorénavant que tu ne voudras plus partir ... Ici, c'est la Petite Maison de Théophraste, qui grâce à toi, deviendra vite la demeure inévitable de tes plus glorieux délires. Que trouveras-tu ici ? Tout, et rien ... Des délires, de la vie, des textes sans queue ni tête, mes pensées, des messages de mes amis, anciens, actuels et nouveaux, des recettes de cuisine, des résultats sportifs, des réflexions complètement absconses pour le commun des mortels, ma pensée du jour ou de la semaine ... Bref de la connerie à tous les étages ... Et pour la connerie, compte sur moi, je suis équipé !!!

Alors, toi qui entres ici, jouis de ce que tu y trouveras ...

Bien à vous,
T. de P.

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